Outre
les suspensions et son aménagement intérieur,
elle bénéficiera d’un élément
spécial qui deviendra le signe emblématique
du modèle : son toit pagode.
Sous forme d’un hard-top amovible, en plastique
et couleur crème, il disposait de ses petites vitres
arrière prolongées de deux ergots de fixations
et reposait impeccablement sur le pare-brise panoramique.
L’intérieur,
ainsi que les sièges rabattables, étaient
assortis à la couleur du toit. La plaque de base
en Zamac, minutieusement moulée, incluant les deux
pare-chocs, était entièrement peinte à
l’argenture.
Le capot, légèrement bosselé, permettait
d’admirer le moteur 6 cylindres peints en kaki.
Le coffre fait parti intégrante du châssis,
et de ce fait, lui aussi traité à l’argenture.
Un soin particulier a été apporté
à la reproduction des phares superposés,
autre caractéristique des modèles Mercedes.
Ces derniers, moulés dans de la matière
plastique translucide encadraient une calandre tout en
longueur.
Deux
variantes concernant la plaque de base, En tout début
de production, seule figurait la mention « Mercedes
230 SL ». Rapidement fut rajouté «
Benz » dans un cartouche légèrement
en relief, le tout moulé sur deux lignes.
Deux coloris métallisés disponibles, le
rouge orangé et le gris argent, le nuancier s’enrichira
d’un rouge carmin se rapprochant de la 300 SE (Réf.
533).
Vendue dans une boîte jaune, avec son diorama signé
Jean MASSÉ. A l’export, la 230 SL ne bénéficia
pas de la belle illustration, mais d’une boite vitrine.
2
267 025