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Restauration !

 


RAPPEL :

Code 1 : Modèle entièrement réalisé par Dinky Toys. Il s’agit d’un modèle totalement d’origine, tel qu’il est sorti d’usine.

Code 2 : Modèle modifié par un tiers avec l’accord du fabricant

Code 3 : Modèle modifié par un tiers sans l’accord du fabricant, c’est a dire les miniatures repeintes, redécorées, transformées.


   
 
 

 

  1. Démontage et Remontage d'un châssis
  2. Décapage & Préparation avant peinture
  3. Bouterollage des roues
  4. Reprise d'un plancher tordu et bosselé:
  5. Reprise de parties cassées et manquantes :

  Maquettiste pendant de longues années puis collectionneur et restaurateur de voitures anciennes, c'est tout naturellement que ces deux passions ont contribué à donner naissance à une troisième : la collection des "p'tites voitures".

Face à la surenchère, justifiée ou non, observée sur beaucoup de modèles en très bon état, j'ai vite compris que mes finances ne me permettraient pas de faire des folies. Alors pourquoi ne pas se lancer dans la restauration d'épaves qui, sinon vouées à un triste sort, risqueront de finir oubliées au fond d'un placard ou du bac à sable d'un jardin. Les régulières sollicitations d'amateurs désireux d'ajouter à leur collection une version rare ou tout simplement d'offrir une nouvelle jeunesse à un jouet d'enfance me laissent finalement à penser que ma technique n'est peut-être pas si mauvaise. Alors pourquoi ne pas en faire profiter d'autres amateurs avides de conseils et d'astuces.

Je vous livre ainsi en quelques lignes une méthode de restauration qui ne prétend surtout pas être la seule et l'unique. J'espère seulement que cette approche permettra de répondre aux questions que l'on se pose immanquablement face à une première restauration de miniature auto.


L'outillage de base

Un minimum est bien sûr nécessaire pour mener à bien et jusqu'au bout l'ouvrage. A savoir:
Petite brosse métallique (genre brosse à bougies)
Mini perceuse + quelques fraises et meules
Pointe à tracer
Jeu de limes aiguilles
Décapant peinture
Mastic de finition carrossier
Papier ponçage carrossier
Tiro (scotch de carrossier)
Aérographe (un simple action est suffisant)
Pâte à polir les métaux
Colle epoxy
Peinture


La documentation
Je me suis composé une bibliothèque de photos glanées ça et là de miniatures à l'état quasi neuf. Cela devient ma référence lorsqu'il s'agit de positionner correctement une touche de rouge pour un feu arrière, de délimiter correctement la couleur argentée d'un pare-chocs… etc.
Ne pas hésiter aussi à prendre des notes et des clichés de la miniature que l'on destine à la restauration car des informations intéressantes au moment de la mise en peinture seront définitivement perdues après décapage.


Quelle miniature restaurer?
Je conseillerai dans le cas de référence relativement courantes de toujours privilégier des épaves saines. Dans mon cas je tiens particulièrement à avoir un rivetage d'origine, on comprendra pourquoi plus loin. Pour être plus précis je dirais qu'il convient de bien observer sous tous les angles la miniature convoitée. Sur beaucoup de références les fin reliefs sensés représenter les calandres par exemple seront très délicats à reconstruire s'ils ont subit des chocs .
Importants (exemples des fines calandres de la Simca 8 Sport ou pire de la Buick Roadmaster). Par contre un pare-chocs cassé (comme souvent sur la Traction #24N) ou un montant de pare-brise envolé peut, avec la patience et l'expérience acquise au fil du temps, être reconstruit.
choisir une base saine !

 

Le démontage
Dans ma démarche de restauration j'ai souhaité aller le plus loin possible dans le respect de l'origine et je me suis donc penché sur le fameux problème de préservation du sacro-saint rivetage d'origine. Plus apparenté à un bouterollage en fait. Une astuce personnelle me permet ainsi aujourd'hui de restaurer la partie interne comme la partie externe de la plupart des références Dinky et autres tout en leur conservant leur si précieux rivetage d'origine.
La méthode que je vais par contre détailler ici, si elle s'avère plus simple, doit par contre obligatoirement passer par le sacrifice du rivetage.

Allez c'est parti ! nous voici donc devant l'épave qui va être l'objet de tous nos soins pendant quelques heures. La première étape va consister à séparer le châssis de la caisse à l'aide d'une perceuse équipée d'un foret de 10 mm centré sur la tête du rivet. Quelques rotations à petite vitesse vont suffire à l'éliminer et à ainsi libérer la tôle de base. On profite tout de suite d'avoir la perceuse sous la main pour l'équiper d'un foret de diamètre maxi 2,5 mm cette fois-ci. On perce un trou de 5 mm de profondeur à l'emplacement des rivets que l'on vient de supprimer. Ces deux trous recevront au moment du remontage une pièce de substitution aux regrettés rivets Meccano. ( voir l'article )

Dans le cas probable ou les jantes requièrent elles aussi une restauration leur séparation de l'axe ne nécessite qu'une lime pour supprimer l'un des deux matages les gardant prisonnières. En observant d'ailleurs de près on remarque que l'un des deux bouts est toujours plus rond et régulier que l'autre. Cela coïncide à l'extrémité formée en même temps que la fabrication de l'axe lui même. L'autre, souvent strié et légèrement plus plat, correspond au bouterollage effectué au montage des jantes sur l'axe. C'est subtil je le reconnais mais c'est ce deuxième qu'il convient de supprimer en priorité.
Bien, si tout c'est bien passé on doit retrouver sur la table: une carrosserie, une tôle châssis, deux axes de roues, quatre jantes, quatre pneus, plus éventuellement vitrage, aménagement intérieur… etc. suivant la référence démontée.


Le décapage de la peinture
voilà une étape particulièrement intéressante de la préparation puisque de sa correcte exécution dépendra en partie la qualité du résultat après peinture.
Plusieurs solutions s'offrent bien entendu à nous et cela en fonction des moyens de chacun. Voici dans le détail trois méthodes personnellement expérimentées.

Immersion dans du diluant peinture : le trempage de la pièce 48 heures dans du diluant va assouplir la peinture qui va progressivement se décoller. Un brossage énergique et une pointe à tracer éliminent ensuite les résidus de peinture. Le résultat n'est pas forcément immédiat et il faut parfois renouveler l'immersion plusieurs fois. Ne pas oublier que les vapeurs de diluant sont nocives et donc de toujours travailler dans un local correctement ventilé.

Le décapant peinture en aérosol : une ou deux applications suivies d'un brossage suffisent généralement. Les résidus de peintures récalcitrantes s'éliminent patiemment à l'aide d'une pointe à tracer. ATTENTION, bien lire les précautions d'emploi sur le corps de l'aérosol. Toujours travailler avec des gants et des lunettes de protection car le produit s'avère être particulièrement agressif pour la peau et pire pour les yeux ! Prudence donc.

Le microbillage : c'est un procédé industriel de décapage par projection en cabine de très fines particules abrasives. C'est dans mon cas personnel l'opportunité de disposer de ce matériel qui me le fait préférer, et de loin, mais il serait bien entendu dans le cas contraire hors de question de se lancer dans un tel investissement.
Cette solution idéale élimine jusque dans les moindres recoins et en un minimum de temps le moindre résidu de peinture. Seule précaution à prendre, ne surtout pas insister sur une zone en particulier mais travailler par balayage constant. La pièce est ainsi prête en 15 secondes chrono! qui dit mieux.
Pour le décapage de la tôle de base seule les deux premières méthodes décrites sont applicables. Le microbillage ne ferait en effet que déformer définitivement la fine pièce.

New-Yorker décapée par microbillage. (à gauche)

Châssis décapé par brossage sur cette Maserati.


La préparation avant peinture
La mise à nu de la carrosserie révèle immanquablement quelques chocs et écrasements provoqués par les longues heures passés dans les cours de récréation et les bacs à sable. Il serait dommage de ne pas corriger cela car la future mise en peinture les fera apparaître comme le nez au milieu de la figure. Un moyen infaillible de les repérer au premier coup d'œil est d'appliquer sur le zamac un très très léger voile de peinture de couleur neutre mate gris clair ou chamois. Celui-ci jouera le rôle de révélateur.

Gros travail de reprise des accrocs sur cette Belvédère particulièrement
abîmée.

Une Saratoga sous un voile de peinture qui ne révèle que très peu de défauts.

Pour corriger les chocs c'est là que les limes aiguilles et les fraises entrent en jeu, secondées d'un peu de mastic de carrossier. Un ponçage de l'ensemble sous un filet d'eau au papier grain 600 termine la préparation. Si l'on n'est pas sûr de soi un second voile de couleur neutre peut être à nouveau appliqué pour bien visualiser l'avancement du travail.
Personnellement je mets un point d'honneur à toujours respecter l'authenticité du moulage. Je ne corrige donc jamais les défauts dus à l'imprécision du moulage d'époque. Uniquement les accrocs du temps.
La carrosserie est maintenant prête à recevoir sa couleur finale. On avance à grands pas!


La mise en peinture
Voici une autre étape intéressante et délicate qu'il est impossible de négliger puisque l'aspect final de la restauration en dépend en grande partie. Un coup d'oeil avant tout sur le matériel et les produits utilisés.

J'utilise à 80% les couleurs Dinky-Touch spécialement développées pour la restauration des miniatures Meccano et autres. Ce sont des bases qu'il convient de mélanger avec un pourcentage de diluant et de durcisseur. Les proportions de 50% de peinture, 25% de diluant & 25% de durcisseur que j'applique régulièrement me conviennent personnellement bien. Des peintures glycéro ou du type utilisé en maquettisme peuvent aussi parfois convenir mais attention à la préparation des surfaces car l'accrochage sur le zamac peut être aléatoire sans apprêt.
Dans tous les cas toujours dégraisser la pièce à peindre avec un chiffon trempé dans du diluant et surtout ne plus manipuler à mains nues.

Vous l'aurez compris à la lecture des lignes précédentes j'ai personnellement proscris la peinture en bombe. La diffusion de couleur n'étant à mon goût pas assez fluide et fine. Je conseille vivement d'investir dans un Aérographe qui, avec un peu de pratique, deviendra très vite indispensable. Seules contraintes, minimes en regard de la qualité du travail, un entretien et un nettoyage minutieux après chaque utilisation. La durée de vie de l'aéro. en dépend.
Je n'entrerai pas ici dans les détails techniques de maniement d'un aéro car nombres d'ouvrages le décrivent beaucoup mieux que je ne pourrai le faire. Je dirai simplement que je travaille à une pression maxi de 2 bars en trois ou quatre passes croisées espacées d'un temps d'attente de 15 minutes. Un passage au four accélère le séchage final.
La couleur argent des pare-chocs est appliquée après avoir masqué au tiro les zones à préserver. Bien observer pour cela les photos de modèles d'origine.

Les miniatures à la carrosserie bicolores demandent bien sûr un peu plus de travail et de patience qu'avec une couleur unique. C'est là qu'entre encore en scène le tiro de carrossier. Dans le cas d'une peinture glycéro moins dure et moins accrochante qu'une polyuréthane l'adhésif peut s'avérer réellement trop adhésif et arracher la première couleur au moment d'ôter les masquages. La catastrophe…!! Voici un petit truc destiné à palier ce fâcheux inconvénient.
Avant d'appliquer le tiro je conseille d'en atténuer l'adhérence en le collant et en le décollant plusieurs fois au creux de la main.

Ne pas oublier que les couleurs sont en théorie toujours appliquées dans l'ordre de la plus foncé vers la plus claire. Je dis en théorie car beaucoup de cas ne suivent pas cette règle: l'intérieur blanc crème sur le rouge de la Chrysler New-Yorker, le pilote blanc de la Ferrari 23J, et j'en passe.

Parfois pour les deux cas cités, et à cause aussi du trop faible temps de pause entre l'application des deux couleurs, le blanc parait légèrement rosé.
C'est à mon avis ce qui fait penser à certains collectionneurs posséder un modèle rare porteur d'une couleur différente des schémas classiques.


Les vitrages
Les vitrages de par la nature de leur matière sont particulièrement fragiles et sont ainsi souvent source de soucis dans un projet de restauration. Il faut savoir avant toute chose qu'aucun produit colle ou autre ne permettra de récupérer un vitrage fêlé ou cassé sans laisser de traces.

Conclusion : seules les pièces dépolies ou voire légèrement rayées sont potentiellement "sauvables". Je traiterai donc dans un premier temps du cas d'une pièce dépolie et devenue opaque.
Avant toute chose, délicatement débarrasser la pièce de la poussière accumulée avec le temps en la rinçant sous l'eau avec une brosse à dent douce. J'utilise ensuite une pâte de polissage disponible dans toutes les grandes surfaces sous le nom de … dentifrice.
Et oui du bon vieux dentifrice, et le 1er prix SVP, blanc de blanc, sans addition de ceci ou cela. Cette pâte est composée entre autres de particules abrasives qui vont faire merveille sur le vitrage de nos belles. Armé d'un chiffon doux et d'huile de coude la pâte additionnée d'eau va être appliquée dans un petit mouvement circulaire jusqu'à obtenir le résultat souhaité. La manipulation est longue mais le résultat vaut le coup. Ne pas hésiter à rajouter du dentifrice. Éventuellement finir au MIROR ou équivalent.
Venons en maintenant au cas d'un vitrage rayé. Il va falloir faire disparaître la ou les rayures à l'aide de papier carrossier grain ultra fin en travaillant toujours sous léger un filet d'eau. Et là c'est la catastrophe me direz-vous. La pièce est sans doute débarrassée de ses rayures mais elle est maintenant franchement opaque. Pas de panique! Re-belote avec notre papier de carrossier mais que l'on aura pris soin cette fois ci "d'user" sur une autre surface de façon à obtenir un grain ultra fin. La surface devient alors de moins en moins opaque, ouf, on tiens le bon bout. Puis pour finir passer à l'étape dentifrice décrite plus haut.

Je le répète la manipulation est longue, délicate, elle demande de la patience, mais elle a fait ses preuves sur mes modèles restaurés équipés de vitrages. Enfin dernière et ultime solution pour sauver un modèle vitré, la pièce neuve re-fabriquée lorsqu'elle est disponible.


Les jantes
Ce chapitre concerne plus particulièrement les modèles de jantes chromées convexes ou concaves. Les jantes zamac posent elles moins de souci puisqu'elle ne s'oxyde pour ainsi dire pas et sont de plus pratiquement toujours peintes.
Les jantes, une fois désolidarisées de leur axe, sont enfilées sur une vis diamètre M 2 de longueur au moins deux fois égale à la l'épaisseur de la jante. Un écrou du même diamètre vient serrer la pièce sur la vis. L'ensemble est enfilé sur le mandrin de la mini-perceuse et le polissage peut ainsi commencer à petite vitesse.
Dans le cas de jantes chromées je commence par un décapage à la toile émerie qui va éliminer toute trace d'oxydation. Je poursuis en travaillant la pièce à l'aide de paille de fer fine additionnée d'un peu de pâte à polir les métaux. Bien insister dans les recoins et les zones concaves.

Je termine par un lustrage au chiffon doux de façon à éliminer toute trace de pâte. Procéder de la même manière pour l'autre face en retournant la pièce sur la vis. Il est étonnant de voir comment les jantes retrouvent leur lustre d'antan.
Les jantes en zamac sont traitées de façon beaucoup moins musclée, la matière risquant sinon de partir en poussière. Une immersion dans du diluant et un simple passage à la paille de fer sans additif est souvent suffisant.

jantes dinky On arrive ainsi à sauver environ 95% des jantes chromées. C'est ma recette mais il en existe sans doute d'autres.

Les axes sont eux aussi re-conditionnés en utilisant cette même méthode.
Il suffit cette fois d'enfiler la pièce directement sur le mandrin et d'appliquer la recette dans le même ordre: toile émerie, paille de fer, pâte à polir, et lustrage au chiffon doux.

Le remontage des jantes sur leur axe respectif nécessite un peu de doigté ou alors l'utilisation d'un petit outillage adéquat.

Dans le premier cas en s'exerçant sur des chutes et avec le temps on arrive à reformer le matage qui va rendre à nouveau solidaire entre elles les pièces. L'axe est fermement maintenu dans un étau et par un mouvement circulaire de martelage on reforme progressivement une extrémité bombée.
Plus facile à dire qu'à faire j'en conviens.
Dans le deuxième cas la méthode est détaillée en images sur la page http://www.aquitaine33.com/dinky/code/restauration1.html .

Une ultime solution consiste au moment de la séparation des jantes et de leur axe à couper en deux ce dernier en son milieu. Le ré-assemblage se fait alors à l'aide d'une pièce d'interface commercialisée sous la forme d'un petit tube d'une quinzaine de mm de long fendu sur sa longueur dans lequel on vient enfiler les deux moitiés d'axes. Cela a l'avantage d'être simple à mettre en oeuvre pour le débutant mais reste cependant peu respectueux de l'origine car souvent visible.


Le remontage
Nous voici arrivé à la phase finale bien méritée de cette restauration. Comme précisé au chapitre "Démontage" nous avons dû, dans cette méthode classique de restauration, sacrifier le rivetage d'origine. Il convient maintenant de remplacer celui-ci par des éléments de substitution. Des sites et des boutiques se sont spécialisés dans la vente de pièces de rechange pour miniatures et nos fameux rivets de rechange confectionnés au profil d'origine sont à leur catalogue. L'aspect des rivets moulés en white métal m'a déçu et je ne les ai personnellement jamais monté. Je préfère et je conseille, et de loin, les reproductions en aluminium obtenues par décolletage au tour. Une recette destinée à leur appliquer une patine artificielle imitant le brunissage du zamac dans le temps donne aussi satisfaction et fait illusion.
Ne pas hésiter à multiplier les assemblages à blanc destinés à ajuster correctement la tôle châssis. Le montage définitif est simple: une touche de colle epoxy (éviter la cyanoacrylate qui laisse des traces blanchâtres autour de son point d'application) avant d'enfiler les rivets dans les trous diamètre 2,5mm percés auparavant. A ce stade on ne touche plus à rien avant prise complète de la colle.

Et voilà votre première restauration menée à son terme. Il ne vous reste plus qu'à admirer votre oeuvre et à lui faire une petite place bien méritée au milieu de votre collection.
Il resterait encore beaucoup de choses à dire et à expliquer puisque je n'ai volontairement pas traité ici la restauration d'une tôle de châssis tordue, enfoncée, ni la façon de traiter une miniature amputés d'un morceau ou atteint de métal fatigue.
J'espère que ces quelques conseils issus de ma propre expérience permettront à certain de se lancer à leur tour dans la restauration et le sauvetage de miniatures. Vous verrez ainsi qu'au fil du temps, votre expérience s'enrichira d'astuces et de tours de mains. N'hésitez alors pas, vous aussi, à les partager.
D'autres restaurateurs plus chevronnés que moi apponteront, je l'espère, des compléments utiles à cette façon de procéder. Je suis ouvert à toutes remarques constructives et ne demande moi aussi qu'à m'améliorer.

Bonne restauration.
RESTORCOLLECTOR

     
 
     
     
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