Le
break « Police » avait aussi troqué
la traditionnelle plaque de base en acier au profit de
la matière plastique, autorisant ainsi un luxe
de détails sous le véhicule.
Une immatriculation civile, qui pourrait être celle
du vrai modèle, parachevait la finition.
La molette, située devant la roue arrière
gauche, permettait de faire basculer, de l’extérieur,
la banquette de couleur gris clair, comme tout l’aménagement
intérieur.
La Peugeot 404 break « Police » pouvait ainsi
rejoindre la petite brigade déjà existante,
se composant des Citroën DS 19 et le HY Currus «
police secours », en attendant la Simca 1500 et
la Renault R 8 qui restèrent hélas à
l’état de prototype et pour la plus célèbre
des voitures pie, la Renault 4 CV, dont la réalisation
ne fut jamais envisagée à Bobigny.
Une boîte un peu plus grande pour caser l’antenne
et le gyrophare, joliment illustrée par Yves Thos.
Un
panneau de signalisation « Accès interdit
aux cyclistes et aux cyclomotoristes » était
fournit en cadeau avec chaque modèle.
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